Rémi Checchetto

On ne connaît pas un Rémi Checchetto mais plusieurs. Si l’on se réfère à la musique joliment italienne de son patronyme on pourrait dire qu’il y a des Checchetti. On en connaît un qui écrit pour le théâtre de longs monologues, et dont on pense qu’il ne fait pas la différence, qu’il ne veut pas la faire, entre l’écriture de théâtre et l’écriture de la poésie. Les deux s’inscrivent dans un travail d’intériorisation, de poétisation du quotidien et des êtres auxquels il se confronte. (Alain Girard-Daudon)

Patiemment, il couche les mots sur le papier et ceux-ci sont mis debout par des metteurs en scène, des musiciens, des marionnettistes, des plasticiens, des artistes de rue.
Il fatigue volontiers ses valises et aime à travailler in situ. Il sillonne la France afin d’écrire des portraits d’habitants (photopoèmes) et de lieux, villes et campagnes et mers (littératerre). Il anime divers projets culturels.
Il donne régulièrement des lectures performances de ses œuvres et a publié quelques 20 livres.